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    Je ne serai pas là et vous aurez tout le temps d'écrire tranquillement !

    Nous continuons à explorer la vie de vos personnages, leur famille, leurs amis... Tous sont réunis, sur une photo ou autour d'une table.

    Que pensent les uns des autres et réciproquement ? Que pense l'un... de tous ?

    Je vous invite à prendre le temps de composer une polyphonie silencieuse, avec solistes, et fragments de dialogues.

    Vous pouvez m'envoyer vos textes pour que nous en parlions le 20, dernier atelier avant les vacances scolaires.

     


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    C'est le début du film de Jean-Pierre Jeunet, Amélie Poulain qui nous offre notre proposition d'écriture du jour.

    Au début du film, les personnages principaux sont présentés successivement. Lecture à haute voix de la description du père d'Amélie.

    Rédaction en 30 minutes de portraits sur le même modèle pour le ou les personnages déjà créés et de ceux qui apparaîtraient à cette occasion, avec à chaque fois des indications de nom, prénom, situation professionnelle et familiale et une série de "il/elle aime, il/elle n'aime pas".

    Vendredi 29 septembre

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    Dans un premier temps et en une vingtaine de minutes, nous établissons de la "CNI" du ou des personnages (nom prénom, date et lieu de naissance, situation de famille, adresse, signe particulier) puis construisons son "arbre généalogique : parents, fratrie, ascendants et descendants...

    Ensuite à la manière de Pérec, en 20 minutes, nous écrivons une série de "je me souviens" qui permet de fabriquer des souvenirs à notre personnage principal : souvenir de faits, de sensations, de désirs, de regrets et... d'oublis avec la formule "je ne me souviens pas".

    Voici les textes de Pérec auxquels je pensais en préparant la proposition d'écriture :

    Je me souviens comme c'était agréable, à l'internat, d'être malade et d'aller à l'infirmerie.

     

    Je me souviens des postes à galène.

     

    Je me souviens quand on revenait des vacances, le ler septembre, et qu'il y avait encore un mois entier sans école.

     

    Je me souviens qu'au pied de la passerelle qui, en haut de la rue du Ranelagh, traversait le chemin de fer de ceinture et permettait d'aller au bois de Boulogne, il y avait une petite construction qui servait d'échoppe à un cordonnier et qui, après la guerre, fut couverte de croix gammées parce que le cordonnier avait été, paraît-il, collaborateur.

     

    Je me souviens qu'un coureur de 400 mètres fut surpris en train de voler dans les vestiaires d'un stade (et que, pour éviter la prison, il fut obligé de s'engager en Indochine).

     

    Je me souviens du jour où le Japon capitula.

     

    Je me souviens des scoubidous.

     

    Je me souviens que j'avais commencé une collection de boîtes d'allumettes et de paquets de cigarettes.

     

    Je me souviens des « Dop, Dop, Dop, adoptez le shampoing Dop ».Je me souviens de l'époque où la mode était aux chemises noires.

     

    Je me souviens des autobus à plate-forme : quand on voulait descendre au prochain arrêt, il fallait appuyer sur une sonnette, mais ni trop près de l'arrêt précédent, ni trop près de l'arrêt en question.

     

    Je me souviens que Voltaire est l'anagramme d’Arouet L(e) J(eune) en écrivant V au lieu de U et I au lieu de J.

     [...]

     Georges Perec, Je me souviens, collection P.O.L., © Hachette, 1978.

     

     


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    Des images découpées dans des journaux sont posées sur la table.
    En choisir une, ou 2 ou 3... pour commencer.

    En choisir une dans la sélection, et rêver ce personnage en devenir. Ecrire en 30 mn, à la 3ème personne,  ce que l'on sait de lui, ce que l'on aimerait savoir, ce qu'il aime, ou pas... ce qu'il a fait ou fera...

    Vous pouvez choisir vos images ou feuilleter sur Pinterest le dossier "personnages" de Pré'textes.

    Et puis saisir vos textes et les envoyer à pretextes92@laposte.net

     


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  • Croque-Madames 1er juin 2017

    Geneviève : lèvres serrées, écriture fine et appliquée, totalement absorbée. Sort d’une nuit d’insomnie, dur dur !

     Gwendoline : ses boucles d’oreilles cercles argentés me font des clins d’œil, c’est elle qui écrit la suite de mon chapitre deux. Gwendoline… c’est magique comme prénom !

     Anne-Claire :  ses boucles blanches rebelles et malicieuses, sous son air tranquille… Elles me susurrent : taratata, on vous réserve encore plein d’exos sympas !

     France : à ma gauche, de sa main gauche, continue « Le Naufragé du Nord » que j’ai commencé. Entre elle et moi, le deuxième chapitre ! Je tente de loucher de biais pour le lire malgré l’interdit d’Anne-Claire… Inutile, elle a posé le chapitre un par-dessus ! Flûte et re-flûte !

    Le monsieur de tout à l’heure … Celui qui regardait par l’entrebâillement de la porte parce qu’il fait chaud dans cette salle finalement… Je me demande ce qu’il a vu de ces femmes silencieuses et concentrées, qui écrivent autour d’une boîte aux trésors ouverte au milieu d’un amalgame de papiers et de cahiers en désordre. Ah les femmes, si elles pouvaient toujours être aussi sages !! Hum, s’il savait …

     

    Là les stylos sont posés. C’est fini, c’est sûr car Geneviève a posé ses lunettes ! Marie-Anne

     

    Un certain 18 mai  Atelier Pré’textes…

    Anne-Claire propose une suite.

    Marie-Anne cogite et sa plume glisse.

    Geneviève sourit à sa page d’écriture.

    Gwen tel le penseur de Rodin se tient la tête alors que le papier du cahier se charge d’écriture.

    France joue avec un acrostiche, ça lui apprendra de ne pas avoir trouvé le courriel de …

    Monique l’a très certainement envoyé ce premier chapitre.

    Maintenant elle gambade à la campagne entre plaisirs et exigences de ce weekend à venir.

    Pré’textes même sans texte donne à réfléchir et écrire.

    Kecej

     


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